Alors que l'Afrique du Sud se prépare pour ses prochaines élections, un changement notable se produit avec au moins 10 candidats indépendants, dont un ancien activiste du Congrès national africain (ANC) au pouvoir, cherchant à obtenir des sièges au parlement pour la première fois. Cette évolution marque un départ significatif des politiques traditionnelles des partis et reflète un désenchantement croissant du public envers les entités politiques établies. L'élection est sur le fil du rasoir, avec des spéculations abondantes selon lesquelles l'ANC pourrait perdre sa majorité parlementaire pour la première fois depuis la fin de l'apartheid. Ce changement potentiel pourrait modifier radicalement le paysage politique du pays, signalant une tendance vers une représentation plus diversifiée et remettant en question la domination de longue date de l'ANC.
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